Trouver l’histoire à raconter
De quoi ça va parler ? La question qu’on se pose quand on veut écrire mais qu’on n’a pas encore l’histoire pour le faire.
Certains commencent en sachant très bien ce qu’ils vont raconter. D’autres se laissent porter par leurs personnages (comme le raconte @marie_vareille dans l’un de ses posts concernant son livre « la vie rêvée des chaussettes orphelines »).
Des histoires à raconter, j’en avais quelques-unes en tête. Mais rien d’assez abouti pour en faire quoi que ce soit. J’avais juste l’envie d’écrire, en me disant qu’un jour peut être, je me lancerai.
Jusqu’au jour où la fin d’un livre m’a déplue. Ça m’a tellement agacée qu’une autre fin s’est mise à se dessiner et, à force d’y penser, à prendre beaucoup de place dans ma tête. Un après-midi où je ne faisais rien de particulier pendant la sieste de mes enfants, je me suis mise à l’écrire. Et ça a été un déclic. Non seulement j’ai aimé cette fin mais j’ai adoré lui donner vie. J’ai pris mon calepin et j’ai défini l’histoire que je voulais raconter en me basant sur cette fin. Ainsi prenait vie ce premier roman.
J’ai débuté l’écriture de mon deuxième roman. Comment m’est venue l’histoire ? Avec une chanson. En écoutant les paroles, sont arrivés les frissons : une idée était en train de germer dans ma tête. J’avais la scène de fin de ce deuxième roman.
Dans un post précédent, je vous ai raconté comment était né « Reprendre son souffle ». Là aussi, c’était par la fin.
Est ce que « mon truc », c’est de commencer par la fin ? Peut être… ou peut être pas ! Je pense sincèrement qu’il n’existe pas de règle. Je ne suis même pas sûre d’aller au bout de ce deuxième roman. Le tout est de se lancer et de se laisser prendre au jeu !